On connaît tous les aspirateurs sans sac Dyson, ainsi que les
ventilateurs de la même marque. Ce sont ceux qui n’ont pas de pales, et
dont on se demande comment ils peuvent pulser l’air.
Pour certains, ça se passe comme ça :
Mais pour ceux qui veulent en savoir un peu
plus, je viens de découvrir que le site officiel de Dyson propose de
nombreux schémas explicatifs (dans ce pdf par exemple), et plusieurs
vidéos sympathiques avec des ballons. Ça se passe par ici.
Car le navigateur, c’est l’interface entre l’utilisateur et sa vie en ligne…
Oui, vous avez bien lu, il ne dit pas “Le navigateur, c’est une
interface entre l’utilisateur et sa vie en ligne”, il dit que c’est
l’unique interface. Personnellement, ça me dérange, parce que ça
implique qu’il n’existe pas d’autre moyen d’accéder à ses données en
ligne, comme par exemple un client jabber ou un client mail. Le fait que
Thunderbird ait quasiment été abandonné n’est finalement pas un hasard.
De plus, et de manière croissante, le navigateur est souvent une
interface qui donne accès à sa vie en ligne via une autre interface, le
service web, qui est propriétaire et bourrée de pub. De ce point de vue
là, je ne vois pas ce qu’apporte Firefox de plus que ses concurrents, et
si Tristan Nitot en parle régulièrement, ce n’est pas au nom de Mozilla Europe.
thomas@zark:~$ host defense.gouv.fr
defense.gouv.fr mail is handled by 30 mail.defense.gouv.fr.
defense.gouv.fr mail is handled by 10 relay1.completel.net.
defense.gouv.fr mail is handled by 10 relay2.completel.net. thomas@zark:~$
Si vous ne trouvez pas, allez là, puis allez ici pour comprendre.
Je me sentais inspiré, philosophe, productif. Au lieu de rester devant
mon ordi à me gratter les, euh, les oreilles, je me suis décidé à lancer
le premier billet de mon blog bd. Ouais, ok, ça ressemble beaucoup à un
mélange entre la bande pas dessinée et “Ben“, et ça sera
probablement le premier et le dernier dessin, mais vous n’êtes que des
langues de vipères, jaloux parce que moi, j’ai un blog bd et pas vous,
nah :p .
Après avoir activé l’IPv6 sur mon serveur (ainsi que sur ma freebox,
sinon l’intérêt est limité) il y a plusieurs jours déjà, je viens de
mettre à jour les zones DNS de celui-ci.
Si vous rencontrez des problèmes particuliers, n’hésitez pas à me
l’indiquer. J’ai visiblement déjà un problème avec mon serveur XMPP
(Prosody ne gérant pas l’IPv6), il va falloir que je règle ça.
EDIT:
Je viens de régler le problème : en fait, le client XMPP cherche à se
connecter au serveur à son adresse IPv6. Or, Prosody ne gère pas encore
ce protocole. La solution c’est de mettre en place une entrée DNSSRV
qui dirige vers un domaine qui n’a que son adresse IPv4 de configurée.
@ 10800 IN A 88.173.163.153
@ 10800 IN AAAA 2a01:e35:8ada:3990:201:c0ff:fe07:bfaa
xmpp 10800 IN A 88.173.163.153
_xmpp-client._tcp.arnoux.lu. 86400 IN SRV 10 0 5222 xmpp.arnoux.lu.
_xmpp-server._tcp.arnoux.lu. 86400 IN SRV 10 0 5269 xmpp.arnoux.lu.
Je tente à nouveau une incursion dans le monde magique des billets “en
vrac”, façon standblog. Je sais que certaines personnes n’apprécient pas
le format, mais comme Google Reader ne me satisfait pas parfaitement
pour partager des liens (ce n’est pas decentralised-self-hosting proof),
je teste d’autres solutions.
Mon objectif dans l’immédiat : publier peu mais régulièrement, plutôt
que de faire comme avant, c’est à dire des articles à rallonge une fois
tous les 36 du mois.
L’auto-hébergement acquiert une certaine notoriété : Eben Moglen, célèbre juriste parmi les défenseurs du Libre, lance la
FreedomBox Foundation : l’hébergement à la maison de services
web, d’anonymisation, de sécurité. Un pas dans la bonne direction
qu’il faut promouvoir et aider financièrement.
Firefox 4 vient de sortir dans son ultime beta. Ça fait quelques
mois que je suis dessus, et je peux vous dire que pour rien au monde
je ne retournerais sur la version 3.6.
Retour sur un vieil article de Mark Shuttleworth : Ubuntu est bien plus que du code. Apple nous l’a prouvé pour l’informatique en
général, Ubuntu ...
Ah, mes chers lecteurs, on se retrouve enfin. Après tant de jours
pendant lesquels j’étais tenu éloigné de mon blog, trop occupé par la
procrastination. Cette coquine a tout bonnement refusé que je rédige ce
billet avant aujourd’hui.
Trêve de bavardages, attelons-nous à la tâche qui nous amène ici, et
répondons sans plus attendre au plus grand mystère de l’univers. Cette
question, dont je vais bientôt vous révéler l’intitulé, vous vous la
posez tous. Elle vous suit toute la journée, quelle que soit votre
activité, elle vous hante la nuit, et vous empêche même de vous
concentrer pour viser la cuvette des toilettes après une soirée bien
arrosée (non, ce n’est pas à cause de l’alcool que vous avez dans le
sang, c’est à cause de LA question).
Je sais que certains d’entre vous se disent qu’ils n’en ont rien à faire
de la question, ils me jettent d’ors et déjà un laconique « 42 », crié à
haute voix devant l’écran de leur ordinateur. Mais non, la question qui
nous rassemble ici est d’un tout autre niveau, plus élevé, que l’on ne
peut pas résoudre par ce ...
La première bataille vient de s’achever, mais le combat vient
seulement de commencer. Ce n’est pas une guerre entre VLC et Apple, mais
entre la GPL, les licences libres et les “stores” dans leur ensemble.
Rappel des faits
Ce dont tout le monde parle en ce moment, c’est de la suppression du
logiciel VLC de l’AppStore d’Apple. VLC est un logiciel sous licence
GPL, licence qui stipule entre autre que l’utilisateur du logiciel est
libre de le redistribuer (troisième liberté), et dont l’article 10
mentionne l’interdiction d’ajouter des restrictions: “You may not impose
any further restrictions on the exercise of the rights granted or
affirmed under this License.”
La société Applidium a créé un port de VLC pour iOS (iPad, iPhone et
iPod Touch), qu’elle a diffusé sur l’AppStore. Problème : les conditions
d’utilisation de l’AppStore ne sont pas compatibles avec la GPL. En
effet, un DRM est ajouté dans le binaire que télécharge l’utilisateur,
qui a pour but de l’empêcher d’installer le logiciel sur plus de cinq
appareils. C’est donc une violation de la licence GPL.
L’autre jour, je me demandais ce qu’il se passerait si je demandais
à avoir le nom de domaine pedonaziporn.42. Je ne suis pas certain
que ça respecte les conditions d’utilisation du service, mais il
faut parfois braver la censure pour la dénoncer, non ?
Je pensais utiliser l’argumentaire suivant, à votre avis, est-ce que
cela pourrait fonctionner :
Bonjour, je voudrais enregistrer le nom de domaine pedonaziporn.42,
afin d’y héberger des images pornographiques avec des petits enfants
et des soldats nazis. Je ne sais pas où trouver ces images sur le net,
donc je les produirai personnellement, ce qui me permettra de détenir
l’ensemble des droits et de les diffuser sous licence libre CC-By. Je
ne ferai pas ça pour gagner de l’argent, juste pour la beauté du geste.
Bon, je viens de découvrir qu’un concurrent s’est déjà attaqué au
marché :