N810 !!!!!!!!!

Ça y est, j’ai enfin reçu mon n810 ! C’est vraiment une belle machine, en partie en plastique, mais surtout en partie en métal. Il est un peu lourd, mais il est surtout très compact. En lisant certains tests, j’avais eu peur que l’ergonomie du clavier soit mauvaise, et je dois avouer que je suis assez surpris, je trouve qu’il n’est pas si mauvais que ça, voire même plutôt facile à prendre en main (d’ailleurs c’est depuis mon n810 que j’écris ce billet).

Enfin bon, commençons par le début. Vers 11h ce matin, je reçois un mail me disant que j’ai reçu un colis (avec 24h de retard, bravo DHL « on vous livre en 24h »), et je suis allé le récupérer en sortant de cours. après une petite course pour rentrer chez moi le plus vite possible, j’ouvre le carton, et voit apparaître la bête, bien emballée et protégée. Minutieusement je déballe tous les accessoires, et je les dépose sur mon bureau, un peu comme le font les gens qui montrent des tests de gadgets en vidéo, pour montrer tout le contenu de la boite. J’ouvre l’appareil pour y insérer la batterie, je le branche au secteur, et je l’allume. Je passe quelques minutes à jouer un peu avec, à découvrir l’interface, je regarde (une partie de) la vidéo de présentation, et je me dis qu’il serait bien de le connecter au net, pour le voir dans son élément, avec le web, jabber, gtalk, sip, etc. Et là commence le calvaire.

Je n’ai pas de borne wi-fi chez moi, juste un switch 100 Mbps et la carte wi-fi de mon portable. J’avais depuis le début prévu de partager ma connexion via une connexion ad hoc entre le portable et le n810, mais je ne m’étais pas rendu compte de la complexité de la chose. Ce n’est pas difficile, c’est juste assez complexe, et ce qu’il est très facile de faire sous Windows m’a donné envie de tout casser sous ma Ubuntu. Je reviendrai sur tous les détails dans un futur billet, qui me servira de pense bête pour une prochaine installation.

Ainsi, après plusieurs heures de combat, je finis par gagner la bataille et arrive à ma connecter à internet, et la suite, globalement vous la connaissez : je surfe sur le net, je vais voir mes mails, je traine à droite à gauche, et j’écris ce billet.

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